
On dirait deux pistons qui appuient sur mes tempes. Mon cerveau se compresse, mon regard se perd dans le vide. Tout à coup ce qui est banal chez les autres devient insupportable […]
On dirait deux pistons qui appuient sur mes tempes. Mon cerveau se compresse, mon regard se perd dans le vide. Tout à coup ce qui est banal chez les autres devient insupportable […]